Les DPLV d’Aquitaine ont fêté le 63ème anniversaire de la création de l’ALAT.

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Crédit photo : Google Musée de l'ALAT et de l'hélicoptère

Le jeudi 30 novembre, les DPLV d’Aquitaine se sont retrouvés à la brasserie des Halles de Dax, pour ensuite aller visiter le musée de l’hélicoptère et de l’ALAT.

A cette occasion, ils avaient invité les DPLV du département des Pyrénées Atlantiques, et les membres de la SMLH disponibles à se joindre à eux.

La participation a été honorable, puisque la table de la brasserie des Halles ne comptait pas moins de 18 convives, parmi lesquels on comptait le colonel Philippe Dehecq, président des DPLV du département 64, et le colonel et madame Michel Bérard, trésorier départemental de Gironde de la SMLH.

A 14H30, le musée de l’hélicoptère et de l’ALAT ouvrait ses portes, et après les mots d’accueil de l’association, le colonel André Dulou remettait au président du musée la plaque des DPLV.

Puis la visite a été d’une grande intensité – souvent d’une grande émotion – conduite par des passionnés, pour la découverte passionnante des trésors exposés dans le hangar, et dans les salles ouvertes à la visite.

Par ailleurs, le covoiturage a fonctionné de manière très efficace, et ceci démontre toute la valeur que l’on attache à la camaraderie, chez les DPLV d’Aquitaine.


 

SECTION AQUITAINE

La commémoration des combats de Bazeilles en Gironde et Aquitaine

Bazeilles 2017

C’est le 31 août 2017, à Peujard en Gironde, que l’amicale des anciens des troupes de Marine présidée en Gironde et en Aquitaine par l’adjudant-chef Jean-Pierre Morizot, a commémoré les combats de Bazeilles.

17 drapeaux, dont ceux des DPLV d’Aquitaine, étaient présents.

Le colonel André Dulou, président de la section d’Aquitaine des DPLV était accompagné par des camarades, dont le colonel Pierre Marsanne, adjoint au président. La cérémonie était empreinte d’une vive émotion, et monsieur le maire de Peujard, lors du dépôt de gerbe au monument aux morts, n’a pas caché sa satisfaction de la présence nombreuse des participants.


Le 27 mars 2017, les DPLV d'Aquitaine ont participé en nombre à la messe inaugurale du SOFINS, salon des forces spéciales, organisé à Martignas sur Jalle.

C'est en la cathédrale Saint-André de Bordeaux, avec pas moins de 34 drapeaux que cette messe a été dite, au coeur de la nef, par l'aumônier général en charge des anciens combattants, à la mémoire de nos camarades des forces spéciales, tombés en opérations et dans l'accomplissement de leur devoir.

Une cérémonie empreinte de recueillement, avec auparavant, un moment de retrouvailles au mess de la garnison de Bordeaux.


Le 2 mars 2017, le président des DPLV d'Aquitaine et de nombreux camarades ont participé à l'assemblée des croix de guerre de Gironde.

C'est à la gendarmerie de Bouliac qu'a eu lieu cette importante manifestation, au cours de laquelle monsieur Dahan a donné acte de la candidature au major Cresson, qui devient le nouveau président des croix de guerre et de la valeur militaire départemental. En bref, une importante réunion, au cours de laquelle les questions de camaraderie ont été d'une haute tenue et d'une parfaite considération.


Le 17 février 2017, le président des DPLV d'Aquitaine s'est rendu à l'invitation du médecin général directeur de l'hôpital d'instruction des armées "Robert Picqué", au colloque organisé conjointement avec la maison de santé protestante de Bagatelle, au forum de Talence, pour une série de conférence sur le sujet de l'arrivée du service de santé américain, au cours de la Première guerre mondiale.

Au cours de ce colloque, les grands noms des premières écoles d'infirmières, les cours dispensés et les soins apportés aux blessés rapatriés sur Bordeaux ont été abordés, de manière à rendre plus compréhensives  les positions prises lors de la première guerre mondiale. Ce fut une série de conférences particulièrement intéressantes.


Le 16 février 2017, le président des DPLV d'Aquitaine s'est rendu à la région de gendarmerie de la Nouvelle Aquitaine, à mérignac, pour la cérémonie en hommage aux camarades de la gendarmerie tués dans l'accomplissement de leur devoir.

Sous la présidence de monsieur Pierre   Dartout, préfet de la Nouvelle Aquitaine, préfet de la Gironde, et du général François Giéré, commandant la gendarmerie de la Nouvelle Aquitaine, une cérémonie particulièrement dense s'est déroulée devant le commandement de la gendaremerie à Mérignac. Au cours de celle-ci, il a été rappelé le sacrifice de nos camarades, avec dignité et sens de l'esprit de sacrifice, de loyalsime et de désintéressement.


Le 9 février 2017, les DPLV étaient conviés à l'assemblée générale du groupement des porte-drapeaux de la zone de défense Sud-Ouest, "Aquitaine"

C'est avec une grande camaraderie que les DPLV ont été accueillis à cette assemblée générale, qui s'est déroulée au mess de la gendarmerie à Bouliac. Accueillis par le président, le commandant (RO) Jean-François Louvet, et par la sympathique équipe du groupement, les membres de la Légion d'honneur décorés au péril de leur vie d'Aquitaine ont été cités à de nombreuses reprises, pour leur engagement et leur bienveillante action au profit des dporte-drapeaux. Rappelons que le président d'Aquitaine des DPLV est également membre de la commission départementale d'attribution des diplômes d'honneur des porte-drapeaux, auprès de ,l'office national des anciens combattants et victimes de guerre de Gironde.


Nous avons participé aux concerts caritatifs de l'armée de l'air, au pin Galant, à Mérignac, organisés successivement par le commandament des Forces aréiennes et par le commandant de la bnase aérienne 106.

Les lundi 30 janvier et 20 mars, les DPLV ont assisté aux deux concerts au profit de la FOSA, association qui se préoccupe des blessés et des familles en difficultés de l'armée de l'air. Deux belles soirées, avec du jazz plein les orielles et le coeur, spécialité de la musique des forces aériennes. D'excellents moments inoubliables et d'une grande et belle dispsoition, en faveur de nos camarades et de leurs familles


Les DPLV ont participé, dans l'intimité familiale aux obsèques de leur camarade "BOB" Sicart

Le 19 janvier 2017, au crématorium de mérignac, avec les drapeaux de la SMLH de Gironde et des DPLV d'Aquitaine, nous avons rendu un hommage appuyé à notre camarade Robert Sicart, dit "Bob", qui a été pendant très longtemps notre trésorier. Le colonel Dulou a tenu à faire son éloge.

Alors que la seconde guerre mondiale n’est pas terminée, le jeune Sicart s’engage le 21 novembre 1944, à Perpignan.

Après une solide formation de mécanicien avion, il est affecté à la 21ème escadre de bombardement lourd, le 21 mars 1946, alors qu’il est déjà caporal depuis quelques mois. Nommé sergent, le 1er mars 1946, il est affecté à la zone de défense aérienne 503 d’Alger, pour servir à la frontière franco tunisienne, le 28 janvier 1948.Il sert en Afrique du Nord jusqu’en fin 1951, sans interruption.

Après quelques mois de remise en condition à Istres, il est désigné pour servir en Extrême Orient, en juillet 1952.

Il sert dans des conditions très difficiles, au titre du théâtre d’opérations d’Indochine, jusqu’en 1954.

Il est cité à quatre reprises, puis reçoit la concession de la médaille militaire à titre exceptionnel, après deux citations à l’ordre de l’armée aérienne.

Le 1er décembre 1954, il est promu au grade d’adjudant, alors qu’il est affecté, à l’issue des opérations d’Algérie, à l’Escadre de transport 01.061 Touraine, à Orléans.

Entre 1955 et 1957, il effectue divers séjours en Afrique équatoriale française, avant d’être affecté à l’escadrille de liaisons aériennes N° 43 à Mérignac.

En 1960, il est mis à disposition du commandant air de la zone outre mer de Dakar, et est nommé adjudant-chef le 1er janvier 1961.

Le 26 novembre 1962, il est affecté à l’escadre de transport 1/62 à Blida, en Algérie, puis, après une formation de cadre de maîtrise, à l’escadre de transport 3/62 Sahara, le 23 septembre 1963.

Le 14 avril 1964, il rejoint l’escadrille de liaison aérienne de Bordeaux Mérignac N° 43.

Admis à faire valoir ses droits à pension de retraite, il est radié des cadres de l’armée active le 27 décembre 1966.

Affecté dans les réserves de l’armée de l’air, il y sert jusqu’au 27 juin 1976, date à laquelle il est rayé des contrôles du centre mobilisateur air N° 223, avec le grade de lieutenant honoraire.

Le lieutenant (honoraire)  Sicart entame une deuxième carrière de mécanicien qualifié au sein des usines Ford à Blanquefort, où sa compétence, son extrême goût de la rigueur, et ses qualités de disponibilité, d’engagement personnel, sont unanimement reconnues. Il progresse ainsi dans ce milieu professionnel, avec une rare réussite.

Sur le plan associatif, le lieutenant (honoraire) Sicart révèle des capacités d’un niveau exceptionnel. Remarquable dans les tâches qu’il assume avec brio, n’hésitant pas à payer de sa personne, il est désigné par toutes et par tous, comme un vivant exemple de dévouement et de profond engagement envers les anciens combattants.

Il est nommé chevalier de la Légion d’honneur et est reçu dans l’Ordre le 18 juin 1997.

Depuis cette date, le lieutenant (honoraire) Sicart n’a jamais varié de la droiture avec laquelle il sert ses camarades, ne ménageant ni son  temps ni sa peine, que ce soit pour l’exemplarité de son comportement, ou pour l’engagement de sa personne au service des autres. Adhérant de la société d’entraide des membres de la Légion d’honneur du comité de Mérignac, puis de Pessac et des Graves, il y rend des services d’une haute qualité, avec un dévouement digne des plus grands éloges. Toujours prêt à coopérer, s’engageant avec brio et prenant sur son temps, pour servir les autres, il fait preuve d’un allant remarquable, et parvient à des résultats remarquables, notamment dans ses actions envers les plus malades de ses camarades.

Toujours disponible, n’hésitant pas à payer de sa personne, il entreprend de montrer aux jeunes générations la valeur des notions premières de la condition militaire, que sont l’esprit de sacrifice, le loyalisme et le désintéressement. Sollicité pour parler de son expérience, il se donne pleinement à cette tâche enthousiasmante, et l’accomplit avec brio.

En 1998, il adhère à l’association des membres de la Légion d’honneur décorés au péril de leur vie, où il est remarqué par le courage qu’il développe devant les jeunes générations, et par son extrême disponibilité. Il en devient le trésorier général en 2002. Dévoué, se donnant sans compter, il est un cadre en tout point admirable, et un bénévole qui rayonne avec foi et détermination. Organisateur de talent, ayant à cœur de donner aux autres, il est l’image parfaite de l’ancien, celle que les jeunes officiers cultivent pour le goût et l’intonation qu’il sait donner à ses récits, autant qu’il regarde avec réalisme ce qui peut être fait aujourd’hui. Membre actif des deux associations des membres de la légion d’honneur, il ne ménage ni son temps ni sa peine pour rappeler les valeurs de la République, et de donner de lui-même pour que les jeunes puissent prendre exemple sur son parcours en tout point exemplaire.

Chez nous, tout le monde connaît « Bob ».

Il a marqué de sa personnalité riche et de ses qualités remarquables les actions entreprises, dont il est incontestablement l’un des principaux acteurs des succès et des résultats constatés.

Alors, au moment de ce dernier adieu, cher Bob, je tiens à te dire toute l’affection de tes camarades, toute la profondeur de notre sentiment, toute la peine qui nous attriste. Ce qui nous réconforte, c’est que nous savons bien que ce dernier envol, tu l’as préparé, avec ta minutie habituelle. Tu as bien pris soin de vérifier tous les éléments.

Tu as dit à ton épouse chérie qu’il n’est plus besoin de vous attendre l’un l’autre.

Vous êtes désormais dans ce bonheur éternel, où l’on ne meurt plus. On est, tout simplement, dans l’éternité.

Bob, notre camarade, oui, nos prières t’accompagnent.

Entre dans la paix de Dieu.


Le 17 janvier 2017 : voeux des DPLV d'Aquitaine et partage de la galette des Rois.

C'est dans le grand salon de la maison du combattant, rue de Saint-Genès à Bordeaux, que se sont tenus la cérémonie des voeux et le partage de la galette des rois des DPLV d'Aquitaine.

La participation, en ces temps de froidure a été moins importante que les années antérieures, car comme l'écrit notre président national, en citant Pierre de Ronsard : "...nous nous en allons..."

Le colonel André Dulou, renvoyant les débats éventuels concernant les bilans à la prochaine assemblée générale, en cours d'organisation, a brossé le tableau des questions relatives aux questions de radiation des camarades, qui n'informent pas des changements de leur situation notamment géographique. Il a souhaité à toutes et à tous une bonne année 2017, en insistant sur les questions de la santé et de la sérénité, en ces temps de profonds bouleversements qui nous attendent. Après avoir également évoqué les changements en cours dans les armées ( notamment la création de la garde nationale), il a souhaité le succès des armes de la France, puis les DPLV  d'Aquitaine ont entonné l'hymne national.

Le partage de la galette a donné lieu à des instants de franche camaraderie, et de grande amitié.


Le 15 décembre 2016 - voeux de l'Union nationale des Combattants de la Gironde

A l'invitation de monsieur Joël le Cloître, président de l'union nationale des combattants de la Gironde, et en présence de monsieur le directeur de l'Office national des combattants de la Gironde, représenatnt monsieur le préfet, le colonel André Dulou et l'adjudant-chef Gilbert Cabiran ont assisté aux voeux et à la célébration de la future année 2017, dans les locaux prestigieux de l'Ermitage de Compostelle du Bouscat. En présence de nombreux drapeaux, dont ceux des DPLV d'Aquitaine, portés par messieurs Francis Lacombe et Richard Cornet, la cérémonie s'est déroulée avec une remise de décorations de l'UNC - nombreuses médailles récompensant les engagements des acteurs du monde combattant et de la mémoire,  - le moment convivial qui a suivi a été particulièrement apprécié par les participants.


 Le 12 décembre 2016 - célébration de la fête de Sainte-Barbe, auprès des sapeurs pompiers du service d'incendie et de secours de la Gironde

 

A l'invitation de monsieur le préfet  de la région Nouvelle Aquitaine, préfet de la Gironde et du colonel commandant les sapeurs pompiers de la Gironde, le colonel André Dulou s'est rendu à la cérémonie de la Sainte-Barbe, au centre de secourds principal de Bordeaux. En présence du drapeau de l'unité, des élus et des autorités civiles et militaires de Bordeaux, il a été procédé à la remise de décorations pour actes de courage et de dévouement et à la remise de médaille de la sécurité intérieure. Tous les actes cités et les engagements narrés sont d'une exceptionnelle qualité. Au cours du moment convivial qui a suivi, le colonel André Dulou a pu rencontrer les membres du sevrice d'incendie et de secours, décorés de la Légion d'honneur depuis quelques temps, et poser ainsi les questions d'une adhésion possible aux DPLV.


Le 10 décembre 2016 - remise des insignes de la Légion d'honneur à madame  Geneviève Benezech.

A l'invitation de monsieur Pierre Ducout, maire de Cestas, chevalier de la Légion d'honneur, le président des DPLV d'Aquitaine s'est rendu à la mairie de cette localité, pour assister à la remise des insignes de chevalier de la légion d'honneur à madame Geneviève Benezech.

Etaient également présent : monsieur Alain Rousset, président du conseil régional de la région Nouvelle Aquitaine, et le colonel Yves Granger président du comité de Pessac et des Graves de la SMLH, ainsi que de nombreux membres du comité, qui est très soudé, pour toutes les sollicitations qu'on lui fait.Michel Boinot, nouveau membre des DPLV Aquitaine était lui aussi présent.

Madame Benezech est une miraculée, puisque, lors de l'incendie de son entreprise, elle a mis en oeuvre elle-même les éléments propres à sauvegarder l'outil de production, puis elle a, avec ténacité et grande pugnacité, remonté la pente avec ses personnels, pour que cette entreprise vive à nouveau pleinement avec tous ses moyens.


Le 9 décembre 2016 - obsèques de madame Germaine Bonnafon

Les DPLV d'Aquitaine se sont rendus en nombre aux obsèques de madame Germaine Bonnafon, l'une des survivantes des camps de Ravensbrück puis des camps de Roumanie, résistante et d'un parfait dévouement à la cause de son pays. Madame Bonnafon était commandeur de la Légion d'honneur. L'éloge funèbre a été lu par le colonel André Dulou, président après les hommages de  la famille et de la fondation pour le souvenir de la déportation dont madame Bonnafon était cofondatrice. Le drapeau des DPLV a honoré de sa présence cette cérémonie civile.


Le 8 décembre 2016, inauguration de la crèche de la légion étrangère à Bordeaux.

 

C'est au PILE de Bordeaux que les participants ont été accueillis.Les DPLV étaient venus nombreux pour assister à cette inauguration. En présence des autorités militaires les plus éminentes, dont le général de corps aérien Serge Soulet, commandant les forces aériennes et le général de division Christophe de Gouttes, commandant la région terre sud ouest, les membres du PILE et de l'AALE 33 ont dévoilé leur  oeuvre, dont le thème cette année est : "crèche légionnaire dans le désert".

L'émotion pendant le déroulé du DVD, puis devant cette belle crtèche a été à son comble. Les cadeaux traditionnels ont été échangés, et la soirée s'est continuée par la collation préparée pour la circonstance. Une très belle manifestation, qui mérite des félicitations et des encouragements à nos camarades "par le sang versé".


Le 6 décembre 2016 grande soirée mondiale des bénévoles à la mairie de Bordeaux.

L'association des DPLV avait été conviée, avec la SMLH, à participer à la soirée mondiale des bénévoles, à la mairie de Bordeaux, le 6 décembre au soir. Accueillis par madame Anne Brézillon, adjointe au maire de Bordeaux, chevalier de la Légion dd'honneur, membre de la réserve citoyenne et auditrice de l'IHEDN (d'une excellente promotion, la 156ème), les participants ont pu assister à la remise des médailles de la ville de Bordeaux à des bénévoles d'une qualité remarquable, avec des parcours de plus de quarante ans au service des autres.

Le président d'Auqitaine qui avait été sollicité pour être au premier rang des bénévoles, a fait l'objet d'une très belle photographie, dans la relation de l'événement, par le journal Sud-Ouest


Le 5 décembre  2016 au soir : invitation de la SMLH de Bordeaux à la conférence sur le Brexit

C'est à l'automobile club de Bordeaux, place des Quinconces, que le comité de Bordeaux-centre de la SMLH avait convié celles et ceux qui s'intéressent au "brexit", çà une conférence sur le sujet, donnée par monsieur Jean-Pierre Villaescuza, chevalier de la légion d'honneur, et ancien président de l'assemblée des Français à l'étranger.

L'exposé de monsieur Villaescuza a été d'une parfaite clarté, et a montré tous les défis et tous les enjeux qui attendent notre Europe, notamment en matière de défense, dans le divorce qui va s'accomplir après le vote négatif des Britanniques. 

Un dîner dans les salons de l'automobile-club a continué le débat, avec des ,propos tout aussi emprunts d'une grande connaisance des relations internes et externes européennes.


Le 5 décembre 2016 : journée des CATM

C'est à 11 heures que les participants se sont rassemblés au monument aux morts de la ville de Bordeaux, pour commémorer cette journée du souvenir des combats d'Algérie, Tunisie, Maroc. Nous étions nombreux, les DPLV, a être présents, et à nous montrer fiers de nos camarades et de nos anciens. Nos deux drapeaux ont ainsi marqué notre volonté de marquer cette journée.


 Journée à Périgueux de la section Aquitaine le 25 Novembre 2016

 

le vendredi 25 novembre 2016, le bureau de la section Aquitaine avait organisé une sortie à Périgueux, pour rencontrer, sur place, les camarades de Dordogne. La journée, commencée sous la brume, n'a nullmenet empêcghhé les opérations "préliminaires" de covoiturage, et tout le monde est parvenu à bon port, c'est-à-dire sur le parking de la maison diocésaine, où le brouillard commençait à tomber. Qu'à cela ne tienne, le président a accompli la reconnaissance propre à l'activité de l'après-midi, non sans avoir déposé les menus pour la table de midi, auprès du erstaurateur.

Tradition oblige, le repas a été particulièrement convivial, sous les plis de notre drapeau, amené pour la circonstance par notre porte-drapeau, Richard Cornet.

L'ambiance a été franchement excellente, quand le lieutenant-colonel Jean Ciappa, président honoraire, est venu féliciter le colonel Dulou, son successeur, pour la qualité de l'organisation. Puis les convives se sont rendus au musée militaire de Périgueux, où ils ont pu visiter les trois étages de cet établissement, avec une foi qu'ils ont toujours manifestée. Les objets exposés tant par leur caractère singulier que par l'émotion qu'ils contiennent, et surtout par la passion de ceux qui les conservent, ont ravi nos participants. Bref : une excellente journée, même si le retour a été un peu long, certains camarades n'ayant pas opté pour le chemin le plus court...

On ira donc visiter les camarades du département des Landes, l'an prochain.


 Commémoration de la Grande guerre à  Bordeaux, puis à Saint-Emilion

 

Après une cérémonie très émouvante, le 11 novembre à Bordeaux, où les DPLV étaient nombreux sur les rangs des associations, en présence de monsieur le préfet, du maire de Bordeaux, du général de corps aérien Serge Soulet, commandant les forces aériennes, et des hautes autorités militaires, le président interdépartemental d'Aquitaine s'est rendu, à l'invitation conjointe du général André Cousine ( DPLV) ancien délégué au patrimoine de l'armée de terre, confodateur du musée franco-allemand de Berlin, et de monsieur le maire de Saint-Emilion, pour une série de conférences, toutes labellisées par le comité du centenaire.

En présence d'une assemblée nombreuse et intéressée, la première conférence a porté sur la litterature au cours de la Grande guerre, et notamment a donné un éclairage  sur les différentes péripéties du prix Goncourt, entre 1914 et 1920.

Le professeur Philippe Baudorre, enseignant à l 'université Mochel de Montaigne de Bordeaux a développé des approches d'une parfaite clarté et a ainsi démontré toute la particularité et l'ouverture de la littératuire, au colurs de la première guerre mondiale.

La seconde conférence a été donnée par monsieur le professeur Xavier Boniface, de l'université d'Amiens, (Liittoral côte d'opale). Le sujet, peu connu, a développé la condition des aumôniers au cours de la Grande guerre. Observateur des évolutions spirituelles dans les deux camps, le conférencier a marqué l'auditoire par la vision très rigoureuse des initiatives, ainsi que des composantes géopolitiques, sociales, politiques, culturelles et théologiques. Ce fut un moment très fort au cours duquel les questions ont fusé sur cette condition du soldat et de sa foi, dans les méandres des combats, des blessures, et de la vision des camarades tombés au champ d'honneur.

La troisième conférence a été plus "politico-tactique". Donnée par le général André Bach, ancien directeur du service historique de l'armée de terre, la problématique Verdun- La Somme en 1916 nous a ramenés vers le brusque déclenchement de l'attaque sur Verdun, et la permanence des évaluations qu'il a fallu reporté de La Somme sur l'Est, liant inextricablement les deux batailles.

Pour la circonstance, le colonel André Dulou (président de la section Aquitaine)  a pu amener à Saint-Emilion le tableau qu'il a confectionné, avec les décorations de monsieur l'Abbé Daniel BERGEY, chevalier de la Légion d'honneur, avec plus de 10 titres de guerre, qui a notamment été député de la Gironde, et fondateur de l'union des prêtres anciens combattants.

En bref, des moments intenses, que les DPLV sont heureux d'avoir paratgés.


Concert d'action solidaire au profit des orphelins des trois armées et de la gendarmerie au Bouscat (33)

 

A l'initiative du général d'armée aérienne (2S) Michel Courtet, un concert organisé par le Rotary Club de Bordeaux-Est a été donné par la musique des forces ériennes, en présence d'une foule très nombreuse, à l'Ermitage de Compostelle du Bouscat. La salle de l'auditorium était "complète", ce qui est très rassurant, pour que personne n'oublie que ceux qui tombent ont une famille, et que ces jeunes camarades laissent souvent des orphelins.

Cette soirée était dirigée par le chef de musique hors classe ( leiutenant-colonel) Patrice Auneau, grand prix du ministre de la culture, et major du concours de chef de musique militaire en 1995.

Il sert à la 27ème division d'infanterie alpine, puis à la musique de la légion étrangère, avant de devenir le chef de la musique des forces aériennes depuis novembre 2005.

Les DPLV s'étaient déplacés et ont contribué ainsi au but pousuivi.

La soirée a été très apréciée, et a remporté un franc succès.


Célébration de Bazeilles le 31 août 2016

 

Texte du journaliste représentant Sud Ouest dans le Blayais monsieur Philippe Charbonneau.

En écho aux guerres actuelles

L’amicale des anciens des Troupes de marine était présente mercredi pour rendre hommage aux combattants de cette bataille de 1870.

Mercredi, pour la troisième année consécutive à Peujard, l'amicale des anciens des Troupes de marine de Bordeaux et d'Aquitaine (AATDM) a célébré le 146e anniversaire des combats de Bazeilles qui eurent lieu les 31 août et 1er septembre 1870 près de Sedan dans les Ardennes, faisant 2 600 tués durant ces 48 heures côté français et 7 000 tués côté allemand.

Ce haut fait d'armes est devenu la référence des Troupes de marine. « Nos aînés d'alors ont combattu pour défendre nos libertés, comme nos jeunes générations du feu aujourd'hui tant en Afrique qu'au Moyen-Orient, a déclaré le président de AATDM d'Aquitaine Jean-Pierre Morizot. Bazeilles a cristallisé à l'époque l'unité des Troupes de marines, marsouins et bigors, mettant en relief le courage, l'abnégation et le sacrifice de soi pour la France. C'est la fête de tradition des Troupes de Marine et elle se perpétue chaque année pour l'armée d'active, à Fréjus dans le Var. »

Après la montée des couleurs en présence du maire Christian Mabille puis une messe en l'église, le président et les représentants d'autorités militaires ont procédé à la cérémonie au monument aux morts, à la lecture du texte officiel des combats de Bazeilles par Jean Deniau membre de l'amicale, au dépôt de gerbes, à la minute de silence. « La Marseillaise » a été suivie de « L'Hymne de l'infanterie de marine » avant la descente des couleurs.

L'ensemble des participants a ensuite rejoint la salle des fêtes de la commune pour les allocutions, la remise de la croix du combattant à Lionel Masson membre de l'amicale et habitant de Peujard. « L'amicale est toujours très bien accueillie dans cette belle commune de Peujard et nous y avons trouvé un maire à notre écoute, c'est pourquoi depuis 2014 nous y revenons chaque année avec plaisir », a conclu Jean-Pierre Morizot. 

 

Ont participé à cette commémoration :

- le colonel André Dulou, le colonel Pierre Marsanne, le colonel André Jolit, le lieutenant-colonel Jean Ciappa, le commandant Raymond Bruder des DPLV Aquitaine.


Bazeilles

Hommage à l'adjudant-chef  Manuel Comte, DPLV des Hautes-Pyrénées, dont les obsèques ont été célébrées à Bordeaux, le 17 août 2016 en l'Eglise Saint-Bruno de Bordeaux.

Hommage funèbre à l’adjudant-chef Manuel Comte

Chevalier de la Légion d’honneur,

Médaillé militaire,

Chevalier de l’Ordre national du Mérite,

3 citations

2 blessures de guerre,

33 ans de service, dont 16 ans et 6 mois de campagnes

Mon adjudant-chef,

On disait « plus jamais ça ! », quand, en 1947, le 10 juillet, vous vous êtes engagé au titre du 421ème régiment d’artillerie. Dès votre formation, vous êtes programmé pour aller en Indochine, et vous voilà en place, à Luong-Hoa, au sein du 10ème régiment d’artillerie de campagne, de 1948 à juillet 1953.. Après avoir été chef de groupe de combat, vous êtes radio, puis chef de pièce, en appui des unités de Légion étrangère.

C’est ensuite le retour en métropole, au 403ème régiment d’artillerie, à Bordeaux, de 1053 à 1955. Instructeur au peloton d’élèves gradés,  vous êtes également adjoint à l’officier transmissions du corps, notamment comme radio et chiffreur.

C’est là que l’avancement va s’accélérer, pour vous voir accéder très vite au grade de maréchal des logis chef, en 1955.

Et puis, vous êtes désigné pour l’Afrique du nord, en 1956. Le premier séjour, vous assurez la protection du barrage électrifié de Beni-Bardel, où votre courage et votre sens du terrain assurent la réussite de la mission.

Fin avril 1958, vous êtes affecté au sein des forces françaises en Allemagne, au 428ème groupe d’artillerie antiaérienne, comme instructeur des jeunes appelés du contingent.

Et c’est le retour à Tiguermine, dans le secteur d’Aumale, comme chef de Harka, de juillet 1960 à mai 1962. Votre galon d’adjudant à peine acquis, Suippes vous accueille comme chef de section topographie.

Et c’est ensuite le retour à Bordeaux, de juillet 1966 à juin 1977, à l’état-major de la 41ème division militaire territoriale, où vous vous occupez activement, et avec rigueur des réserves, et où vous passez avec succès le BMP 2 chancellerie.

Cette belle carrière, couronnée par le grade d’adjudant-chef, vous entraîne au centre mobilisateur N° 10 de Lannemezan, ou vous faites connaissance avec les rudes gaillards du corps Franc Pommiès, et où vous déposez votre sac, le 31 décembre 1980.

Voici donc le moment de prendre une dernière communication. Elle sera exemplaire, et transmise en clair. Elle dira toute la merveilleuse aventure où vous avez construit peu à peu cette liberté dont nous avons tous tellement besoin. Et nous, à qui vous tendez le flambeau du maintien des valeurs, de la défense de la civilisation, nous sommes là, pour essayer de suivre votre exemple.

Les drapeaux vous saluent bien bas, pour tout ce que vous avez accompli, au service de la Nation, au sein de l’armée de la République.

Tout le caractère sacré de votre engagement révèle ce que Sainte Barbe, la patronne des artilleurs, nous enseigne dans son témoignage. La rigueur et l’abnégation portent notre émotion à l’apogée de votre vertu.

Mon adjudant-chef Comte, entrez dans la paix de Dieu.

(Discours prononcé par le colonel Dulou)

 La section Aquitaine a présidé à la refonte des statuts des porte-drapeaux régionaux

C'est le 7 mai 2016 que, à l'initiative du président honoraire des DPLV Aquitaine, Jean Ciappa, l'association des porte-drapeaux de la "Région de défense Atlantique" s'est réunie, pour examiner ses nouveaux statuts.

L'assemblée, nombreuse, a d'abord écouté les propos du président honoraire Jean Ciappa, avant qu'il donne la parole au colonel André Dulou, président des DPLV Aquitaine, en exercice.

Ce dernier a effectué un travail colossal de refonte complète des statuts des porte-drapeaux de la région Aquitaine, dont la devise qu'il a proposée, a de suite été adoptée par les participants. "Fidèles et debouts".

Puis chaque article a été examiné, et certains ont été légèrement modifiés, notamment par des propositions judicieuses de Joël Le Cloître, président de l'UDAC de la Gironde. Puis on est passé au règlement intérieur, là également préparé par le colonel André Dulou. D'une rare intégrité, et d'une parfaite connaissance du fonctionnement de nos associations patriotiques, le colonel André Dulou a ensuite été élu à une majorité écrasante en qualité de vice-président de cette association, qui ne ménage ni son temps ni sa peine, pour le devoir de mémoire. Les participants l'ont d'autant plus remercie, qu'il devait ensuite les quitter précipitamment, pour un rendez-vous médical de premier plan.

 


ASSEMBLEE ANNUELLE DU 13 AVRIL 2016

 

RAPPORT MORAL

Je commencerai cette séance d’assemblée annuelle de la section interdépartementale d’Aquitaine, en intervenant auprès de vous sur quelques points qui ont marqué cette première année de présidence parfois un peu bousculée, et souvent portée à bout de bras dans les circonstances de l’année 2015 que nous venons de vivre.

C’est ainsi qu’après avoir brossé un tableau le moins long et le plus synthétique possible, j’en viendrai aux questions dynamisantes pour notre section.

1 – Synthèse des questions de l’année 2015.

Nous avons souvent l’impression désagréable que rien ne se passe comme nous le souhaitons, que ce soit à travers le monde, ou que ce soit dans notre confort relatif et immédiat, de soldats, de camarades qui s’en vont, et de l’âge qui nous accable.

Dans le monde dans lequel nous évoluons, la France est regardée comme le pays qui marque de son empreinte occidentale la civilisation du même nom. Et cependant, nous ne sommes guère satisfaits des résultats que nous pouvons constater chaque jour. Que ce soit à l’extérieur, ou/et à l’intérieur, nos cœurs vibrent face à des informations et des renseignements qui nous contraignent à l’amertume et au désarroi, et surtout à l’inquiétude pour les générations qui suivent.

Les faits sont là.

Je ne vais pas vous rebattre les oreilles avec le rappel de ce que j’entends depuis maintenant plus de trois mois, dans les différentes assemblées où je suis convié, ou encore que je préside. Les valeurs de la République demeurent intactes. Nous sommes parmi les gardiens de ces valeurs, et nous devons en transmettre les repères les plus efficaces auprès des jeunes, ignorants la plupart du temps de ce que sont les définitions de l’honneur, de la Patrie, et de l’esprit de sacrifice, autant que de ce que sont le désintéressement et le loyalisme.

Nous avons donc connu l’agression intolérable d’un ennemi, et le Président de la République a prononcé le mot de « guerre ».

Pour que cet ennemi soit combattu et que nous soyons vainqueurs, l’engagement de nos forces est total, global comme l’entendent, depuis les années cinquante, les données de la défense. Cet engagement ne doit pas nous donner l’illusion de conquêtes ou de reconquêtes. Notre armée est, aujourd’hui, comme hier, dans une situation de tension importante. La condition ayant évolué, nos soldats ne peuvent comparer ce qu’ils connaissent, sauf sur les théâtres extérieurs, avec ce qu’ont vécu leurs anciens, voire leurs grands anciens. C’est là, pour nous autres, un défi à relever, car en les écoutant, nous savons et nous constatons qu’ils sont bien nos héritiers, et que nous nous devons de les épauler. Ceci requiert, de notre part, une humilité de fond, et une fierté de les voir ainsi. Sachons donc leur passer ce flambeau, ce témoin, dont ils sont en tous points dignes.

2 – Questions relatives à notre section.

En Aquitaine, quatre départements forment le socle de notre section. Les Landes, la Dordogne, le Lot-et-Garonne et la Gironde. Les conditions sont réunies pour que la section vive et continue sur sa lancée ce qu’ont accompli nos prédécesseurs. Je rends un hommage tout particulier, aux deux présidents précédents, et à leur équipe. Tout ce qui sert notre pays a été entrepris, et le témoignage de la gratitude de toutes et de tous est le gage de leur réussite. Comme je l’ai laissé entendre précédemment, l’âge avance, et de nombreux camarades nous quittent, soit parce qu’ils entrent au paradis des guerriers, soit encore parce que, atteints de maladies dégénératives, leur famille, leurs tuteurs, ne souhaitent plus ni régler leur cotisation, ni encore recevoir nos courriers. Certains d’entre vous entretiennent des relations avec des camarades isolés. Moi-même, je me déplace et je téléphone, pour leur dire tout notre soutien. Cependant, les courriers reçus en réponse, et l’absence de réponse tiennent le bureau de la section dans un état d’inquiétude à l’égard de nos camarades.

Par ailleurs, et pour répondre à de nombreuses interrogations reçues de la part des uns et des autres, les statuts de l’association des membres de la Légion d’honneur décorés au péril de leur vie sont particulièrement clairs.

Dans le premier bulletin édité par l’Association en 1928, Maurice d’Hartoy écrivait : « Les membres de l’association savent que la Légion d’honneur n’a pas été créée pour eux seuls. Loin de prétendre monopoliser le mérite, ils ne contestent nullement celui de leurs collègues admis dans l’Ordre pour d’autres motifs infiniment respectables, soit au titre d’un long et loyal passé militaire, ou de leurs talents, ou des services réels rendus à la science, aux arts, à l’industrie et d’une façon générale au Pays et à la civilisation. Ils désirent simplement se grouper en une utile et vivante amicale dont tous les membres sans exception auront obtenu  le ruban rouge au danger. Avec sa sœur, la société des membres de la Légion d’honneur, belle œuvre d’entraide extrêmement utile et qui groupe tous les légionnaires sans distinction d’origine, notre Association désire entretenir des relations affectueusement cordiales, quoiqu’indépendantes »
Aujourd’hui l’état d’esprit des DPLV est toujours le même et les administrateurs recommandent vivement à leurs membres d’adhérer aux deux associations. 

Nous venons d’ailleurs de recevoir des demandes d’adhésion en provenance de jeunes camarades, dont l’engagement auprès de nous est vivifiant et concourt à nous donner un véritable espoir de pérennité pour notre structure.

Par ailleurs, et avec l’accord du bureau, nous nous sommes attelés à la tâche de soutenir le groupement des porte-drapeaux de l’ancienne région Aquitaine. Les méandres et les différentes dispositions proposées semblent aller dans le meilleur sens possible. Il faudra là également, vaincre les réticences, montrer combien les combats de ce temps sont aussi importants que ceux d’hier.

La matière associative est une matière vivante.

Dans le même esprit, sachez que la section entretient les meilleurs rapports avec ses voisins, et que la qualité d’administrateur national de votre président de section est ressentie comme un honneur, et l’engagement du service à l’association, avec toute l’humilité qui me caractérise.

Voilà mes chers camarades, chères amies et chers amis, ce que ce matin je tiens à vous exprimer.

Je ne suis pas de ceux qui se cachent derrière une satisfaction immobile. J’ai l’ambition de servir, de continuer à servir, non pas dans une tour d’ivoire, mais bien à vos côtés, selon la définition donnée par mon chef de section lorsque j’étais jeune enfant de troupe.

« Le camarade, c’est celui que l’on choisit pour mourir avec lui au combat ».

Notre combat continue. Faisons en sorte qu’il nous conduise à la victoire.

 

Voeux de la Légion d'honneur le 4 février 2016 à Bordeaux.

A l'invitation de la SMLH, notre "association soeur", les DPLV de Bordeaux se sont rendus en nombre pour les voeux de la Légion d'honneur de Gironde. A cette occasion, leur président le colonel André Dulou a reçu les insignes d'officier dans l'ordre des palmes académiques, en présence des hautes autorités civiles et militaires, des mains de son camarade de promotion IHEDN Jean-Marie Sarpoulet, inspecteur d'académie  titulaire placé auprès du recteur.

Puis, le colonel André Dulou a présenté les voeux de la Légion d'honneur.....en alexandrins!

Le partage de la galette qui a suivi a donné le ton de ce rassemblament autour du premier Ordre national, les panneaux des expositions de la Légion d'honneur, DPLV et SMLH ayant été par ailleurs forts appréciés, ainsi que les incitations à rejoindre nos rangs, parmi les détenteurs de citations et de blessures, titulaires de la Légion d'honneur.


Galette des Rois DPLV  du 26 janvier 2016 à Bordeaux

C'est avec une grande joie que les DPLV d'Aquitaine se sont retrouvés pour échanger leurs voeux, et partager la traditionnelle galette des rois, le 26 janvier 2016, jour même de l'anniversaire de leur président, que d'aucuns se sont empressés de lui souhaiter, et avec beaucoup d'esprit de camaraderie et même de certaine êtite ironie. "Même en prenant de l'âge, tu es encore bien jeune"!

Le président et le trésorier avaient préparé la très belle salle d'apparat de la maison du combattant de Bordeaux, et les convives étaient une petite cinquantaine.

Les porte-drapeaux ont marqué leur présence, et après une minute de silence à la mémoire des camarades qui nous ont quitté, la convivicalité étant au rendez-vous, tout s'est admirablement déroulé : vive 2016 chez les DPLV d'Aquitaine!


CONFERENCE DU 20 Novembre 2015

Les DPLVont assisté nombreux à la conférence du général Cousine, le 20 novembre 2015 au Cercle de Cursol à Bordeaux, pour commémorer la libération de Strasbourg, le 23 novembre 1944.

A l'invitation de la SMLH, 131 personnes ont assisté à la conférence, et 108 ont participé au repas de gala qui a suivi.

Notre président avait concoté, comme à l'habitude, le menu, sur lequel avait été apposé la photographie du maréchal Leclerc.

En bref, une journée très réussie, et les retrouvailles de camarades ont ajouté l'amitié à l'émotion .